Les connaissances linguistiques : sésame pour un emploi?

Posté le 21/10/2017  —  Actualité précédente / suivante

Parler anglais et néerlandais permet d'élargir sa palette de choix au moment de postuler pour un nouvel emploi.

En effet, en 2016, 52,7% des offres d'emploi reçues par Actiris affichaient des exigences linguistiques explicites, chiffre qui monte à 75-80 % dans les bureaux de recrutement, tandis que seuls 20 % des employeurs acceptent des profils unilingues.

Toujours selon Actiris, seul un demandeur d'emploi sur cinq a un niveau moyen en néerlandais, loin du bilinguisme exigé par certaines entreprises. Les spécialistes s'accordent donc pour dire qu'il est important d'acquérir au moins une base dans la langue étrangère, que le candidat pourra perfectionner par la suite en fonction du domaine dans lequel il souhaite postuler. D'ailleurs, la maîtrise d'une langue étant une compétence qui peut s'acquérir avec l'expérience, les candidats qui n'ont pas le niveau exigé sur une offre d'emploi peuvent tout à fait postuler et mentionner leur volonté de se former.

Voici les secteurs qui requièrent le plus fréquemment des compétences linguistiques:

  • ingéniorat;
  • sciences et sciences appliquées;
  • informatique;
  • gestion;
  • économie;
  • finance;
  • droit.

D'autres secteurs nécessitent peu ou pas de connaissances linguistiques:

  • enseignement et formation;
  • médical et paramédical;
  • imprimerie;
  • agriculture et horticulture;
  • élevage, chasse et pêche.

Références, 21 octobre 2017


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