Univers glamour et captivant, où le beau tient une place importante, la mode en fait rêver plus d'un. Plus qu'un art, il s'agit également d'un véritable vivier économique, drainant des millions d'emplois de par le onde dans des secteurs variés. Il s'agit d'un domaine où se côtoient des noms prestigieux de l'industrie du luxe et des entreprises, présentes sur différents segments du marché allant du produit standard au prêt-à-porter de luxe.
Prédire les tendances, imaginer et dessiner une collection, façonner du cuir, créer des accessoires, inventer des tissus, acheter les meilleures matières, vendre les vêtements ou encore défiler sur un podium, le secteur offre de débouchés très variés, faisant appel à différents savoir-faire. Des grandes maisons de couture aux plus petits ateliers, la mode permet à tous les niveaux de formation de s'exprimer mais exige aussi de réelles compétences techniques, alliées à une véritable passion. Extrêmement mouvante, la mode est plus que jamais à la recherche de profils innovants.
A la base d'une collection, on retrouve bien entendu le styliste mais aussi le prévisionniste de tendance ou encore le directeur de collection. Quant au designer textile, il répondra aux demandes des différents intervenants afin de créer les textiles recherchés. Une fois la mode de demain imaginée, la matière est ensuite mise en forme par le couturier, le modéliste, le modiste mais aussi le cordonnier et le maroquinier. Il restera enfin au photographe à sublimer le mannequin lors de shootings photos ou de défilés. Si certains métiers deviennent de plus en plus rares, notamment dans le domaine de la confection et de l'artisanat, d'autres profitent de l'engouement que suscite la mode chez les consommateurs. C'est le cas du conseiller en image ou du journaliste de mode, qui, par leurs conseils, influenceront le contenu des garde-robes de tout un chacun.
Même s'il jouit encore d'une certaine richesse professionnelle et fait preuve d'une source créative inépuisable, le secteur de la mode n'en est pas moins menacé par la concurrence des pays émergents et par la production en série. De plus, il s'agit d'un secteur très dépendant des tendances et du comportement des consommateurs qui passeront d'une marque à l'autre ou d'une petite boutique à un site de vente en ligne très rapidement. Dans l'ère du "prêt-à-jeter" ou du "do it yourself", les créateurs doivent donc sans cesse faire preuve d'originalité et d'innovation pour mettre en valeur leur talent et faire la différence sur le marché international.
Qu'ils soient issus de l'artisanat, de la création artistique, de la vente ou de la promotion, nous vous proposons de découvrir quelques-uns des métiers de la mode dans ce magazine. Bonne lecture !
Les métiers
Métier lié : Grossiste en habillement.
Métiers liés : Coiffeur·euse, Maquilleur·euse, Prévisionniste de tendance, Styliste.
Métiers liés : Maroquinier·ère, Modéliste, Styliste.
Métiers liés : Accessoiriste, ensemblier·ère, Couturier·ère, Modiste, Scénographe, Styliste.
Métiers liés : Brodeur·euse, Costumier·ère, habilleur·euse, Dentellier·ère, Gantier·ère, Maroquinier·ère, Modiste, Modéliste, Opérateur·rice d’assemblage-montage, Passementier·ère, Patronnier·ère-gradeur·euse, Plisseur·euse, Plumassier·ère, Styliste.
Métiers liés : Designer, Prévisionniste de tendance, Styliste, Sérigraphe.
Métiers liés : Acheteur·euse en vêtements et accessoires, Chef·fe de produit, Directeur·rice artistique, Directeur·rice marketing, Prévisionniste de tendance, Styliste.
Métiers liés : Agent·e artistique, Mannequin, Prévisionniste de tendance.
Métiers liés : Tanneur·euse, Taxidermiste.
Métiers liés : Cordonnier·ère, Couturier·ère, Maroquinier·ère, Styliste, Tanneur·euse.
Métiers liés : Acheteur·euse en vêtements et accessoires, Fripier·ère, Grossiste en habillement.
Métier lié : Vendeur·euse.
Métiers liés : Acheteur·euse en vêtements et accessoires, Gérant·e de boutique de vêtements, Vendeur·euse.
Métiers liés : Chroniqueur·euse, Critique, Journaliste.
Métiers liés : Acteur·rice, Directeur·rice d’agence de mannequins.
Métiers liés : Cordonnier·ère, Couturier·ère, Gantier·ère, Styliste, Tanneur·euse.
Métiers liés : Cordonnier·ère, Couturier·ère, Maroquinier·ère, Patronnier·ère-gradeur·euse, Styliste.
Métiers liés : Accessoiriste, ensemblier·ère, Costumier·ère, habilleur·euse, Couturier·ère, Styliste.
Métiers liés : Conseiller·ère-vendeur·euse en cosmétique et parfumerie, Cosmétologue.
Métiers liés : Couturier·ère, Modéliste, Styliste.
Métiers liés : Accessoiriste, ensemblier·ère, Coiffeur·euse, Coiffeur·euse de plateau, Costumier·ère, habilleur·euse.
Métiers liés : Directeur·rice de la photographie, Photographe.
Métiers liés : Conseiller·ère en image, Designer textile, Directeur·rice d’agence de mannequins, Styliste.
Métiers liés : Conseiller·ère en image, Cordonnier·ère, Couturier·ère, Designer textile, Maroquinier·ère, Modiste, Modéliste, Patronnier·ère-gradeur·euse, Prévisionniste de tendance.
Métiers liés : Acheteur·euse en vêtements et accessoires, Etalagiste, Fripier·ère, Grossiste en habillement, Gérant·e de boutique de vêtements, Visual merchandiser.
Autant savoir
Petite histoire de la mode
Le souci de se vêtir est vieux comme le monde ! Objet de parement ou de protection, depuis la préhistoire, l’homme montre qu’il aime s’orner. Dans les régions au climat froid, le vêtement servait avant tout de protection. Petit à petit, il deviendra plus sophistiqué, décoré et agrémenté d’accessoires. C’est à ce moment précis où le vêtement quitte son rôle fonctionnel pour devenir objet de séduction que l’on parle de mode.
Le terme « mode » est apparu en 1482. On parle alors de modes portées à la Cour, privilège des aristocrates, imités par les classes aisées. Ces modes font partie de l’histoire du costume.
On situe le début de l’histoire de la mode au 19e siècle. C’est en 1858 que le créateur Charles Frédéric Worth eut l’idée de faire défiler de vraies femmes lors de salons afin de présenter ses modèles aux clientes. Avant cela, les femmes confectionnaient elles-mêmes leurs habits. Elles ont ensuite commencé à faire appel à des professionnels. C’est ainsi qu’est apparu le métier de couturier. Ce dernier avait pour missions de couper, coudre, garnir et mettre au point un vêtement. Le dé à coudre et l’aiguille en métal étaient les seuls outils jusqu’en 1830, année où Barthélémy Thimonnier inventa la machine à coudre.
Depuis lors, les métiers et les techniques du textile n’ont cessé d’évoluer et de se développer. Plusieurs facteurs expliquent l’essor de la mode : la production en série, l’apparition de la classe moyenne habitant les villes, la diffusion des tendances dans la presse, etc. Au début du 20e siècle, l’apparition de nouvelles fibres permettent de proposer des vêtements à des prix abordables et le marché de la mode devient alors accessible au plus grand nombre. Dans les années 1960, les industriels veulent créer leur collection de mode : le métier de styliste est né ! Une nouvelle forme de distribution apparait, les premières boutiques fleurissent à Londres et se multiplient partout en Europe.
La mode est devenue un phénomène de société, mêlant des éléments complexes tels que la créativité, les médias, les industries et le commerce. Les grands couturiers sont devenus de véritables personnages publics et inspirent la grande distribution par leurs idées et leurs modèles, toujours plus innovants.
Haute couture, prêt-à-porter et confection
C’est en 1947 qu’apparait le terme prêt-à-porter. Il désigne alors tous les vêtements produits en série et qui portent une griffe (étiquette). Le prêt-à-porter désigne le passage de la couture artisanale sur mesure à des tailles standardisées qui permettent la production de vêtements en série. C’est au cours de la première guerre mondiale que l’idée de créer des tailles standardisées et de produire en série voit le jour. Il fallait en effet habiller les nombreux soldats et le sur mesure ne pouvait répondre à ce besoin. La confection prendra progressivement de l’ampleur et au cours des années 1940, elle représente un quart de la production de vêtements. Le reste est produit de façon artisanale par des couturières professionnelles ou les femmes restées à la maison.
L’usage de l’étiquette va se généraliser et le terme prêt-à-porter sera utilisé pour tous les vêtements qui ne sont pas faits sur mesure. Plusieurs appellations vont voir le jour : on parlera de « prêt-à-porter création » pour la haute couture qui réalise des modèles spéciaux destinés à la vente en série, de « prêt-à-porter des couturiers » qui utilisent des matériaux onéreux, des formes recherchées et de « prêt-à-porter industriel ».
Aujourd’hui, la plupart des créateurs et des grandes maisons de couture proposent du prêt-à-porter, la haute couture étant devenue une vitrine du savoir-faire de la maison.
Si les collections des couturiers et des jeunes créateurs sont dévoilées lors des défiles, les collections industrielles sont, quant à elles, présentées lors de salons professionnels.
Le secteur de la confection et de l’habillement en Belgique
Le secteur belge de l’habillement et de la confection va bien au-delà des vêtements classiques que nous portons chaque jour. Ce secteur regroupe également la confection de vêtements de travail et de sécurité, d’uniformes, de tentures, de bâches, de sièges-auto, de linge de maison, etc.
Selon les statistiques de l’IREC[1], le centre de formation des entreprises belges d’habillement et de confection, on compte 2.200 entreprises de confection en Belgique. La majorité d’entre elles sont localisées en Flandre (70%). La Wallonie compte 15% des entreprises et Bruxelles 15%. Le secteur compte 13.000 travailleurs en Belgique dont 82% en Flandre, 9% à Bruxelles et 9% en Wallonie.
En mars 2012, toujours selon les chiffres de l’IREC, on comptait 450 postes vacants dans 443 entreprises belges de confection. Les postes les plus recherchés concernaient la production (coupe, repassage, etc.) avec 111 places vacantes. Les piqueuses (74), le personnel commercial (70) et logistique (52%) sont les plus recherchés, suivis du personnel administratif (37), des créateurs stylistes (19), des patronniers (14) et des opérateurs CAO. Le secteur éprouve des difficultés à trouver du personnel qualifié et motivé, ayant à la fois le contact facile avec les clients, le feeling commercial et le sens de la mode.
D’après Comeos[2], en 2011, le secteur de la mode représentait 4,5% du budget des ménages en Belgique et générait un chiffre d’affaires de 7,71 milliards d’euros. Une famille dépense environ 1.570 euros dans le secteur chaque année, 74% de ce montant étant destiné à l’achat de vêtements, 21% à l’achat de chaussures et 5% à l’achat d’articles divers. Il apparait également que 39% des clients achètent leur vêtements en ligne avec comme motivations principales de pouvoir profiter des réductions et promotions et de pouvoir acheter 24h sur 24. La Belgique apparait toutefois comme le pays le plus à la traine en matière d’e-commerce, ce dernier étant plus régulé que dans tous les autres pays de l’OCDE.
La production n’a lieu que très rarement en Belgique. Chaque année, des vêtements sont importés pour un montant de 3.800 millions d’euros. 35% sont originaires d’Extrême-Orient et 25% d’Afrique du Nord.
Le marché de la seconde main et du vintage
Les débuts de la mode seconde main en Belgique remontent aux années 80. A l’époque, on parlait plus de vintage et le phénomène concernait davantage la clientèle fortunée qui souhaitait se démarquer en portant des pièces qui avaient plus de 20 ans. Au milieu des années 90, l’intérêt pour le vintage a diminué et le milieu a donc été contraint de s’adapter et de vendre des pièces plus récentes. La clientèle a également évolué, cherchant dans la seconde main une alternative aux vêtements neufs plutôt qu’un moyen de se distinguer. Depuis, l’intérêt pour la filière ne cesse de s’accroître et rencontre un véritable succès partout dans le pays.
La crise économique de 2008 fut notamment l’occasion pour les consommateurs de revoir quelque peu leurs habitudes, notamment en matière d’achat de vêtements. En effet, dans un monde du « tout jetable », la tendance est de se débarrasser de l’ancien et de racheter un produit neuf. De plus, la durée de vie raccourcie et l’usure plus rapide des tissus encouragent les clients à remplacer ce qui ne convient plus. Sans oublier que les modes vestimentaires évoluent très rapidement et que des vêtements encore utilisables perdent vite de la valeur car plus « tendance ». Les anciens finissent alors au fond d’une armoire avant d’être jetés.
Le vêtement de seconde main est aussi un créateur d’emplois (réparation, collecte, service après-vente) non négligeable. De nouveaux acteurs ont vu le jour et les enseignes spécifiques foisonnent à tous les coins de rue.
Le réseau RESSOURCES[3], le portail belge de la récup et de la revalorisation, fait notamment partie de cette filière avec, chaque année, plus de 23.000 tonnes de textile traitées par des entreprises d’économie sociale membres du réseau. Les vêtements proviennent de bulles textiles, d’apports volontaires dans les magasins, de ramassages en porte-à-porte ou encore de dons citoyens. Les vêtements récoltés sont triés et séparés en fonction de leur état : la « crème » (5% des vêtements collectés), c’est-à-dire les vêtements propres, en bon état et au goût du jour, sera revendue dans les magasins de seconde main ou donnée à des personnes dans le besoin tandis que la catégorie « export » correspond aux vêtements propres, en bon état, répondant à des demandes spécifiques des pays du sud (55% de la quantité collectée). Enfin, les vêtements abîmés peuvent être recyclés (25%) en chiffons à destination de l’industrie ou en nouveaux textiles, après une étape d’effilochage (procédé de récupération des fibres textiles).
Soutiens au secteur de la mode et du design
Wallonie-Bruxelles Design/Mode[4] assure le soutien international des créateurs de Wallonie et de Bruxelles en matière de design et de mode. Ses deux grandes missions sont :
- la promotion et la valorisation du savoir-faire des designers et stylistes par l’organisation d’actions au niveau international (participation à de grands salons, foires et concours internationaux, invitation de décideurs étrangers, de la presse internationale à rencontrer les stylites, développement de supports de promotion divers) ;
- le conseil et le soutien aux créateurs wallons et bruxellois dans leur démarche d’exportation (information sur les soutiens financiers, les opportunités à l’étranger, assistance à la prospection).
Wallonie-Bruxelles Design/Mode organise également des formations, des conférences et des séminaires pour les créateurs candidats à l’exportation.
Creamoda[5] est l'association professionnelle de toutes les entreprises qui sont actives en Belgique dans la mode et l'habillement ou dans la confection. Elle défend ses affiliés sur tous les terrains de la vie économique et remplit également une mission de conseil, de stimulation et d'accompagnement à différents niveaux : social, juridique, international, économique et technologique.
MAD Brussels[6], le centre bruxellois de la mode et du design vise à promouvoir le développement économique de la mode et du design dans la capitale. Il soutient les activités des designers et des créateurs de la Région bruxelloise et contribue au développement du secteur et de ses activités. Le centre aide également les stylistes et designers à établir des liens avec des personnes susceptibles de faire appel à leurs compétences. L’organisation d’expositions, de concours et d’événements figurent également parmi leurs missions.
Comeos[7], porte-parole du commerce et des services en Belgique, est actif dans de multiples secteurs dont la mode. Le Fashion Circle a ainsi été créé début 2012 spécialement pour le secteur de la mode et destiné à regrouper au sein d’un club très select les CEO et décideurs qui abordent des thèmes sectoriels (soldes, par exemple), préparent des actions de lobbying et mettent en place des actions de mobilisation (magasins ouverts le dimanche, par exemple). Comeos offre en outre des informations sectorielles spécifiques actuelles à ses membres sur les soldes, l’étiquetage, les indications de prix, les actions promotionnelles, etc.
Bonnes adresses
Comeos - Fédération belge du commerce et des services asbl
Av. Edmond Van Nieuwenhuyse 8 - 1160 Bruxelles
+ 32 2 788 05 00 – info@comeos.be – www.comeos.be
Creamoda
Leliegaarde 22 - 1731 Zellik
info@creamoda.be - www.creamoda.be
Fédération Belge de Fourrure
Quai de Willebroeck - 1000 Bruxelles
+32 2 21 22 623 – www.bontfederatie.be
IVOC vzw - IREC asbl
Leliegaarde 22 - 1731 ZELLIK
+32 2 481 53 50 - info@irec.be – www.irec.be
MAD Brussels - Mode And Design Center
Centre Dansaert - 7-11 rue d'Alost - 1000 Bruxelles
+32 2 880 85 62 - contact@madbrussels.be – www.madbrussels.be
La Maison du Design
Rue d'Havré, 114 - 7000 Mons
+ 32 65 235 100 - info@maisondudesign.be – www.maisondudesign.be
Wallonie-Bruxelles Design/Mode
Boulevard Baudouin, 12 - 1000 Bruxelles
+32 2 421 84 42 - info@wbdm.be – www.wbdm.be
Centre de la Tapisserie, des Arts muraux et des Arts du tissu de la FWB
Site : http://www.tamat.be
Flander Fashion Institute
Site : http://www.ffi.be
Musée de la Mode à Anvers (MoMu)
Site : http://www.momu.be
Musée de la Mode à Hasselt
Site : http://www.modemuseumhasselt.be/
Offres d’emploi destinées aux professionnels du secteur
Site : http://be.fashionjobs.com
Trouver des artisans du textile, de la peau, etc.
Sites : http://www.artisans.be ; http://www.artisans-belges.be
Sources
- www.abambvma.be
- www.bontfederatie.be
- www.comeos.be
- www.creations-fourrure.fr
- www.creamoda.be
- www.culture.be
- www.cv.com
- www.eft-bxl.be
- www.ensci.com
- www.e-orientations.com
- www.esmod.com
- www.formationpme.ifapme.be
- www.gad-textiles.com
- www.institut-metiersdart.org
- www.jcomjeune.com
- www.jobat.be
- www.kelformation.com
- www.larousse.fr
- www.leforem.be
- www.lesmetiers.net
- www.letudiant.fr
- www.lisaa.com
- www.madbrussels.be
- http://metiers.siep.be
- www.observatoiremodetextilescuirs.com
- www.onisep.fr
- www.ouestfrance-emploi.com
- www.pole-emploi.fr
- www.references.be
- www.res-sources.be
- www.retaildetail.be
- www.studya.com
- www.studyrama.com
- www.wbdm.be
- http://fr.wikipedia.org
- « Dans les coulisses de la mode », Metro, 15 février 2013
- « Les agences de mannequins en Belgique », Flair, 29 janvier 2013
- « Mannequin, un métier du hasard », Le Soir, 26 septembre 2013
- « Mode, c’est belge et ça se vend », Le Soir et Victoire, 8 et 11 mars 2013
- « Seconde main, oui, mais de luxe », La Libre, 14 août 2010
- « Travailler dans la Mode », Elle Belgique, n°94, juin 2011
- « Bruxelles sous toutes les coutures. La mode bruxelloise, un secteur économique en pleine expansion ? », M. Taymans, N. Van Droogenbroeck, J-P Lambert, CERB et ICHEC Recherche, décembre 2006.
- Mode & Textile, Bodart C. et d’Huart H., SIEP, 2007, 311 p
- « A quoi sert un journaliste de mode ? », 6 mars 2013, www.elle.be
- « Dans les ateliers d’un plisseur, précieux savoir-faire pour la haute couture », 19 et 20 janvier 2014, http://tempsreel.nouvelobs.com et www.rtl.be
- « Découvrez le secteur de la mode et de la confection en 10 questions ! », www.irec.be
- « Devenir mannequin, une question d’envie…et de couleur ? », Enquête sur le mannequinat en Belgique, 14 octobre 2009, http://gazettebxl.interrenet.be
- « Le marché du seconde main & du vintage : bien plus qu’un phénomène de crise », 27 août 2013, http://fr.retailupdate.be
- « Les bureaux de style, ces gens qui « font » la tendance », 26 juillet 2012, www.madmoizelle.com
- « Les coulisses de l’exploit », 2 octobre 2009, http://madame.lefigaro.fr/style/coulisses-de-lexploit-021009-16989
- « Parole donnée à un booker en agence de mannequins », 4 novembre 2013, www.huffingtonpost.fr
Remerciements
Nous tenons à remercier toutes les personnes interviewées pour le carnet Mode comme pour notre site Internet, ainsi que celles qui nous ont fourni les contacts de professionnels. Nous remercions tout particulièrement le Mode And Design Center - MAD Brussels pour les précisions apportées concernant la liste des métiers.