Cinéma, radio & télévision

Paola Anello

Publié en janvier 2018  —  Magazine précédent / suivant  —  Tous les magazines
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Depuis toujours, le cinéma, la radio et la télévision remportent un franc succès auprès du grand public, tant comme loisirs et activités culturelles que comme médias d'information. Toutes tranches d'âges confondues, la télévision représente le loisir le plus répandu en Fédération Wallonie-Bruxelles. Auprès des jeunes, les médias digitaux sont très présents, mais la télévision et la radio sont encore bien classées, respectivement en 4e et 6e positions[1]. Le cinéma est l’activité culturelle la plus plébiscitée avec quelque 69% des francophones qui affirment être allés au cinéma au moins une fois en un an, surtout les jeunes (94%). Sans oublier la multiplication des « supports domestiques » tels que le DVD ou la Video-on-demand (VOD), mais aussi Internet qui permet d’accéder à de nombreux films et programmes.

Pour permettre cette large consommation et proposer des produits prêts à être regardés, écoutés, enregistrés, voire téléchargés ; de nombreux professionnels, alliant souvent connaissances techniques et créativité, vont entrer en jeu. Les scénaristes, réalisateurs et producteurs permettent à une idée, un concept, de voir le jour et vont initier la conception de la fiction, du documentaire, ou de l’émission radio ou télé. Le régisseur, le scripte ou le programmeur permettront la bonne planification et le suivi des tournages et enregistrements. De nombreux techniciens manipulent les caméras, l’éclairage, les micros, etc. Les acteurs et animateurs radio ou télé entrent en action pour faire vivre les produits, par les jeux de rôles ou leurs présentations. Le monteur assurera la postproduction en lien avec l’équipe technique et le réalisateur. Enfin, les distributeurs, exploitants de salle, ou encore directeurs de chaînes et de stations permettent à ces projets d’être connus du grand public, en les achetant et en les diffusant.

Le cinéma, la radio et la télé, connaissent des évolutions technologiques qui bouleversent littéralement le paysage audiovisuel et cinématographique et les professionnels qui le composent. La télé se numérise, la radio se « podcaste[2] », le cinéma se regarde en 3D, etc., de façon à attirer et fidéliser un public toujours plus vaste et diversifié. Ces transformations requièrent des savoir-faire sans cesse renouvelés et orientés vers l’avenir.

Ce magazine présente quelques-uns des professionnels œuvrant dans ces secteurs si populaires que sont le cinéma, la radio et la télévision, à toutes les étapes de création et de réalisation.

Bonne lecture !

 

[1] Etude sur la consommation média des jeunes, réalisée au niveau mondial par l’agence Mindshare auprès des 18-24 ans en septembre 2011.

[2] Le podcasting est un moyen de diffusion de fichiers (audio, vidéo ou autres) sur Internet appelés podcasts.

 

Les métiers

 

Autant savoir

Définitions et état des lieux en Fédération Wallonie-Bruxelles

Les activités liées au cinéma, à la radio et à la télévision sont reprises dans ce que l’on appelle le secteur de la culture, des loisirs et du tourisme. Ce secteur est composé de plusieurs sous-secteurs qui concernent notamment :

  • Les activités cinématographiques et vidéo qui englobent la fabrication, la production, l’édition, la distribution et la projection cinématographique à destination du cinéma ou de la télévision ;
  • Les activités de radio et de télévision qui couvrent la production et la diffusion de programmes de radio, la production et l’émission de programmes de télévision.

A Bruxelles et en Wallonie, le Service général de l’Audiovisuel et des Multimédias (http://www.audiovisuel.cfwb.be) de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a pour missions de soutenir la production audiovisuelle, de participer au développement des médias et aux initiatives internationales dans le domaine de l’audiovisuel et des nouveaux médias. Ses activités concernent la télévision, la radio, le multimédia, la presse écrite…

Le cinéma

La Fédération, et plus particulièrement le Centre du cinéma et de l’audiovisuel, soutient la production de courts et longs métrages de fiction et d’animation, des téléfilms de fiction et des programmes télévisuels. Il octroie également des aides à l’écriture de scénarios. Présent à tous les stades de la vie des films, de l’écriture à la diffusion, le Centre du cinéma et de l’audiovisuel exerce ses compétences dans l’aide à la production ; l’encouragement à la coproduction entre les producteurs indépendants et les éditeurs et distributeurs de services télévisuels ; la promotion et la diffusion ; les prime au réinvestissement et le Tax Shelter[1] ; l’aide aux opérateurs (festivals, ateliers, distributeurs, exploitants de salles, structures de diffusion, etc.), etc. Le Centre soutient également la participation des professionnels à des formations nationales et internationales.

Au sein du Service général, la Commission de sélection du film émet des avis sur des dossiers pour lesquels le Ministre concerné devra décider de la somme allouée pour le projet. Il s’agit d’un soutien (une avance sur recettes) à la production du film ou du programme. La Commission de Sélection des Films dispose d’une enveloppe annuelle pour soutenir les projets de création cinématographique et audiovisuelle en Fédération Wallonie-Bruxelles. 

Les Ateliers de production et d’accueil, créés par la Fédération Wallonie-Bruxelles, sont chargés de soutenir plus spécifiquement les premières œuvres d’auteurs ainsi que les documentaires de création et productions légères d’auteurs confirmés.

Un observatoire du court métrage a été créé en 2010 et permet aux professionnels de recevoir des informations, d’initialiser une réflexion commune, de rencontrer et d’échanger des idées autour de ce format particulier. L’Administration peut également entendre les propositions, les suggestions et agir efficacement dans le soutient du secteur.

Par ailleurs, il existe également une agence officielle pour la promotion de l’audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles à l’étranger. Wallonie Bruxelles Images (WBImages) a pour missions de promouvoir les œuvres dans les festivals et marchés étrangers ; de faciliter l’accès des professionnels aux différents marchés et les aider à promouvoir et vendre leurs productions ; de fournir des informations aux producteurs et exportateurs ainsi qu’aux acheteurs et distributeurs internationaux. 

En 2012, la production audiovisuelle belge francophone a reçu une enveloppe budgétaire de 23,2 millions d’euros dont 60% ont été apportés par la Fédération Wallonie-Bruxelles et les 40% restants ont été constitués des apports des éditeurs et distributeurs de services audiovisuels. Ce sont 485 projets qui ont ainsi été examinés et 139 qui ont été soutenus, tous créneaux confondus.

La radio et la télé

Le paysage radiophonique de la Fédération Wallonie-Bruxelles est composé de réseaux (communautaires, urbains, provinciaux) et de radios privées indépendantes qui coexistent avec les radios de service public de la RTBF. Sans oublier les webradios déclarées. Certaines s’adressent à un public ciblé (jeunes, population étrangère, aînés, etc.), d’autres développent plutôt une thématique (musique classique, par exemple). La liste des différentes stations peut notamment être consultée sur le site du CSA.

Le Service général de l’Audiovisuel et des Multimédias est chargé de proposer les dispositions légales, de gérer le parc des fréquences d’émissions et de gérer le Fonds d’aide à la création radiophonique (FACR).

Dans la partie francophone du pays, le paysage télévisuel est constitué de services télévisuels de service public (RTBF), de services télévisuels locaux de service public (télévisions locales) et de services télévisuels privés. La liste des différentes chaînes peut notamment être consultée sur le site du CSA.

L’apparition des nouvelles technologies de communication a permis le développement important du secteur de la télévision lors de ces dernières années. Les chaînes se sont ainsi multipliées, l’offre de programmes s’est étendue et les modes de diffusion se sont diversifiés. Ces évolutions ont également eu un impact sur la concurrence entre les chaînes, entraînant la mise en place d’outils réglementaires adaptés, par les pouvoirs publics.

Ainsi, deux décrets régissent le secteur en Fédération Wallonie-Bruxelles :

  • Le décret coordonné sur les médias audiovisuels : texte qui régit la totalité des métiers de l’audiovisuel en distinguant trois fonctions essentielles : l’éditeur de services, le distributeur de services et l’opérateur de réseau.
  • Le décret du 14 juillet 1997 qui fixe le cadre organique et les missions principales de la Radio-Télévision belge de la Communauté française.

Dans le domaine de la télévision, le Service général de l’Audiovisuel et des Multimédias gère les fréquences de la télévision analogique ainsi que la transition vers la télévision numérique terrestre. Il joue également un rôle d’intermédiaire et de médiateur entre les télévisions et le secteur de la production indépendante. De manière générale, il soutient les chaînes présentes dans le paysage audiovisuel de la Communauté française (la RTBF, les télévisions privées et locales et TV5).

Le Service général de l’Audiovisuel et des Multimédias participe également aux travaux du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA - www.csa.be).

Fonctions dans le secteur du cinéma, de la radio et de la télévision

Concernant le secteur audiovisuel, il existe des barèmes et une classification des fonctions en vigueur depuis 2009. 54 fonctions de références sont décrites. Ainsi, en radio et télévision, on distingue :

  • les fonctions commerciales (ex : agent de promotion, collaborateur commercial, account manager…) qui ont pour objectifs de maximaliser les revenus publicitaires des chaînes, de planifier et organiser des activités de promotion et de partenariat, etc.;
  • la rédaction (ex : rédacteur en chef, journaliste…) qui coordonne et contrôle le contenu des émissions, l’ordre des sujets, la distribution des tâches et qui assure la présentation des reportages ;
  • la programmation (ex : régisseur final, product manager, TV planner) qui vise à garantir la cohérence des contenus ;
  • la production (ex : producteur, assistant de production, réalisateur, artiste, animateur, directeur photo…) qui conçoit, développe, planifie et organise la production et la réalisation d’émissions ;
  • la technique (ex : cameraman, assistants son et image, monteur, techniciens du son…) qui se charge de la prise de son ou d’images, de la mise en place du matériel indispensable à un tournage ou à un enregistrement.

En 2010, le secteur radiophonique représentait 776 travailleurs en équivalent temps plein. Ces emplois sont financés par la publicité locale, des subsides ou aides à l’emploi ou encore des donations, mais de nombreux bénévoles œuvrent également, surtout dans les radios indépendantes. En 2010, ils étaient 1788, soit une augmentation de 44 unités par rapport à 2009. Ces passionnés consacrent en moyenne plus de 4 heures par semaine à leur radio.

Pour les travailleurs de la production de films et du cinéma d’animation, les fonctions sont classées dans des catégories de 1 à 10.

Dans le cadre de la production de films, on retrouve les équipes de réalisation, de production, de prise de vues, de maîtrise (chef machiniste ou chef électricien), de prise de son, de décor et plateau et l’équipe de montage. Quant à la production de films d’animation, elle regroupe le réalisateur, le chef animateur, le chef décorateur, le chef traceur-gouacheur, le chef opérateur-image, le chef dessinateur d’animation et le chef modèles couleurs.

Il peut arriver qu’au sein d’une équipe de tournage, plusieurs fonctions soient cumulées par un seul travailleur ou être démultipliées dans le chef de plusieurs travailleurs.

Les commissions paritaires en vigueur dans le secteur sont :

  • La CP 227 : secteur audiovisuel
  • La CP 303.00 : industrie cinématographique
            SCP 303.01 : production de films
            SCP 303.02 : distribution de films
            SCP 303.03 : exploitation de salles de cinéma
            SCP 303.04 : industries techniques du film

Consommation et fréquentation

Depuis toujours, le cinéma, la radio et la télévision remportent un franc succès auprès du grand public, tant comme loisirs et activités culturelles que comme médias d’information. Si les médias digitaux sont de plus en plus présents auprès des jeunes, la télévision et la radio restent malgré tout bien classées, respectivement en 4e et 6e positions. Le cinéma est quant à lui l’activité culturelle la plus plébiscitée, surtout chez les jeunes. Sans oublier la multiplication des supports tels que le DVD, le Blu-ray ou des nouveaux médias comme la Video-on-demand (VOD), mais aussi la Web TV ou la Webradio, qui facilitent encore davantage l’accès aux productions. 

Cinéma

Que ce soit en salle, en ciné-club, sur Internet ou en DVD et Blu-ray, le cinéma figure parmi les activités culturelles les plus répandues en Belgique francophone. Ainsi, 69% des francophones se sont rendus dans les salles en 2007. Quant à la fréquence, 27% vont au cinéma au moins une fois par mois et ils sont même 5% à y aller chaque semaine. Le cinéma continue surtout d’attirer les 16-24 ans avec 94% de fréquentation au moins une fois sur l’année.

L’usage du DVD et des autres plateformes de diffusion a sans aucun doute renforcé le succès du cinéma. Ainsi, 23% des francophones regardent un DVD chez eux au moins une fois par mois et ils sont 26% à le faire une fois par semaine. Internet est également devenu rapidement un moyen très utilisé pour regarder un film ou une série. D’après les chiffres qui ressortent du « European Video Yearbook 2012 », en 2011, les ménages belges ont consacré un budget de près de 60 millions d’euros en téléchargement ou en streaming (vision) de films et de séries télévisées sur leur ordinateur. Ce qui représente une augmentation de 22% par rapport à 2010. Quant à la VOD via la télévision numérique, elle représente près d’un quart (23%) de l’ensemble du marché belge de la vidéo. 

En Belgique, aucun organisme ne recense les entrées dans les cinémas. On dispose toutefois des chiffres de la Fédération des Cinémas Belge (FCB) et de Kinepolis (11 complexes en Belgique), ce qui couvre 86% du parc. Ainsi, la FCB a annoncé qu’en 2011, ses salles affiliées avaient connu une augmentation de plus de 5% en termes de fréquentation. Les salles membres de la Fédération ont ainsi accueilli 10,4 millions de spectateurs. De son côté, Kinepolis a annoncé 9,6 millions de spectateurs. Ces données varient bien entendu d’une année à l’autre, en fonction des films sortis, de la météo, etc. Par ailleurs, en 2012, les films belges ont attiré plus de 1,6 millions de spectateurs dans les salles belges et françaises.

Radio

Malgré une légère diminution ces dernières années, le média radio continue à capter une audience importante. En 2010, 90,2% des 12 ans et plus déclaraient ainsi avoir écouté la radio lors des derniers mois. En 2011, trois quarts des plus de 25 ans écoutaient quotidiennement la radio. Sur une semaine, la radio touche près de 87% de la population belge francophone et par jour moyen, ce média atteint 73,2% de la population. Souvent qualifié de « média du matin », la radio est un média de mobilité, écouté par de nombreuses personnes sur le chemin du travail. Elle s’écoute désormais également sur Internet, permettant ainsi davantage d’interactivité et la naissance de webradios, uniquement disponibles sur Internet. La flexibilité offerte par le web attire aussi de nombreux auditeurs qui souhaitent réécouter une émission en différé ou via podcast (téléchargée).

Télévision

Toutes tranches d’âges confondues, la télévision représente le loisir le plus répandu en Fédération Wallonie-Bruxelles, à la fois par le nombre de téléspectateurs et par la fréquence que par le temps qu’on y consacre.  Ainsi, 86% de spectateurs regardent quotidiennement la télévision et 93% de téléspectateurs affirment être des consommateurs très réguliers. 87% des 25 ans et plus la regardent quotidiennement. Les programmes les plus regardés per les Belges sont les films (70% de téléspectateurs réguliers), les comédies (60%), les soaps (47%) et les actualités (43%). Le temps moyen qu’un francophone consacre chaque jour à ce média est de 3h05 en semaine et 3h52 le week-end. Véritable loisir, addiction ou simple passe-temps, la télévision n’en reste pas moins présente dans une grande majorité de foyers.

 

[1] Créé en 2004, le tax shelter est un incitant fiscal permettant à toute entreprise de bénéficier d'une exonération fiscale de 150% du montant investi dans une production audiovisuelle. http://www.taxshelter.be/

 

Bonnes adresses

Agence Wallonne des Télécommunications - AWT

Avenue Prince de Liège, 133 – 5100 Jambes - +32 81 77 80 80 – info@awt.bewww.awt.be

Association Belge des Auteurs de Films et de Télévision - ABAFT

Rue Rogier, 217 – 1030 Bruxelles - +32 2 219 93

Association Belge de Distributeurs de Films - ABDF

Place de l’Alma 3 (bte 2) – 1200 Bruxelles - +32 2 649 33 10 - info@abdf-vfdb.be - www.abdf-vfdb.be

Association des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel indépendants de Wallonie – Cinéma Wallonie

Rue Albert t’Serclaes, 7 – 4821 Andrimont - + 32 87 78 35 95 – cw@cinemawallonie.bewww.cinemawallonie.be

Association des Réalisateurs et Réalisatrices de Films

Rue du Prince Royal, 87 – 1050 Bruxelles – info@arrf.bewww.arrf.be

Association des réalisateurs et producteurs de films documentaires - ARPF – Doc

Rue de la Sablonnière, 29 – 1000 Bruxelles – www.arpfdoc.be

Association des Scénaristes de l’Audiovisuel

Rue du Prince Royal, 87 – 1050 Bruxelles - newsletter@associationscenaristes.be - www.associationscenaristes.be

CARTOON - Association Européenne du Film d’Animation

Avenue Huart Hamoir 105 – 1030 Bruxelles - +32 2 245 12 00 – info@cartoon-media.euwww.cartoon-media.be

Centre d’Information sur les Médias - CIM

Chaussée de la Hulpe 181 bte 22 – 1170 Bruxelles – www.cim.be 

Cinebel – Films en salles et horaires

www.cinebel.be

Cinémathèque royale de Belgique

Rue Baron Horta, 9 – 1000 Bruxelles - +32 2 551 19 00 – info@cinematek.be  – www.cinematek.be

Cinergie – Revue et annuaire du cinéma belge

www.cinergie.be

Conseil Supérieur de l’Audiovisuel - CSA

Boulevard de l'Impératrice, 13 - 1000 Bruxelles - +32 2 349 58 80- info@csa.bewww.csa.be

Culture.be

www.culture.be

Fédération belge des Entreprises Audiovisuelles - FEBELAV

Vlaamse Media Maatschappij - Medialaan, 1 – 1800 Vilvoorde - +32 2 255 38 62 – febelav@vmma.be

Fédération des cinémas de Belgique - FCB

Demervallei 4 – 3200 Aarschot - +32 16 89 86 65 - thierry.laermans@fedcin.be

Fédération Européenne des Réalisateurs de l’Audiovisuel – FERA

Avenue de la Toison d’Or 60C – 1060 Bruxelles - +32 2 544 03 33 – office@filmdirectors.eu - www.filmdirectors.eu

Mediarte - Fonds Social du Secteur Audiovisuel et de la Production de films en Belgique

Avenue des Gloires Nationales, 20 – 1083 Bruxelles - +32 2 428 17 11 – info@mediarte.be - www.mediarte.be

Point Culture (Médiathèque) + sites locaux

www.lamediatheque.be

Service général de l'audiovisuel et des multimédias de la FWB

Boulevard Léopold II, 44 – 1080 Bruxelles – +32 2 413 35 01 - audiovisuel@cfwb.be - www.audiovisuel.cfwb.be

SMartBe - Association Professionnelle des Métiers de la Création

Siège social : Rue Emile Féron, 70 – 1060 Bruxelles - +32 2 542 10 80 – bruxelles@smart.be - www.smartbe.be

Union des Producteurs de Films Francophones - UPFF

Rue des Chartreux, 19 – bte 30 – 1000 Bruxelles - +32 2 643 01 32 – info@upff.be - www.upff.be

Wallimage

Rue du 11 novembre, 6 – 7000 Mons - +32 65 40 40 33 – info@wallimage.bewww.wallimage.be

Wallimage/Bruxellimage

Rue Royale, 2-4 – 1000 Bruxelles - +32 2 563 63 31 – info@bruxellimage.be

WBImages

Place Flagey 18 - 1050 Bruxelles - +32 2 223 23 04 – info@wbimages.be - www.wbimages.be

 

Sources

 

 

Remerciements

Nous tenons à remercier toutes les personnes interviewées pour le carnet Cinéma, radio & télévision comme pour notre site Internet, ainsi que celles qui nous ont fourni les contacts de professionnels et les photos.


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